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Kessel : les aventuriers ne reviennent jamais
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Nous avions rencontré Joseph Kessel il y a plus d'un an. Il préparait encore Les Cavaliers, un livre qu'il aimait plus que les autres et pour lequel il n'attendait pas le succès d'aujourd'hui. Il terminait difficilement huit cents pages et allait passer trois mois et demi à en couper trois cents. Il a épargné un chapitre inutile et beau, où la Tzigane chante une chanson oubliée de Gorki.